Romans...

Bon là celui-là je l'écris depuis hier, alors en avant première le début lol!
Ouais, ben en fait une fois que vous l'aurez lu vous verez qu'en fait il me manque un nom pour le manoir. J'ai vraiment pas d'idées donc si vous en avez... Et sinon, j'ai des droits d'auteur dessus, mdr!!




La nuit commençait à tomber, et le froid de l’hiver recouvrait la fête foraine d’un petit village isolé. Des lanternes éclairaient un vieux manège ou se dressaient des petits chevaux de bois sur lesquels des enfants riaient de bon cœur. De jeunes garçons lançaient des flèches de leur arc avec fierté sur des cibles, afin de remporter la compétition organisée. D'autres préféraient s'élever dans les airs avec leur balançoire. On pouvait aussi apercevoir des gand-mère, accompagnées de leurs petits-enfants, aller nourrir les canards qui nageaient paisiblement dans leur marre, ce qui leur plaisait beaucoup car ils pouvaient alors les caressés. L’odeur de la barbe à papa s’élevait dans tout le parc, et remplissait tous les enfants de bonheur.
Non loin de là s’élevait une grande demeure qu’on appelait le Manoir Hanté. C’était une grande maison de pierres sombres avec très peu de fenêtres, entourée d’un vieux cimetière et de grand arbres dessêchés.
C’était la plus ancienne des attractions du parc, et elle avait dû fermer car elle effrayait les plus jeunes. Certains prétendaient même entendre des bruits suspects à l’intérieur dès qu'ils l'approchaient. Bref, autant dire que les rumeurs étaient plus farfelues les unes que les autres, et même les plus endurcis n’osaient même pas immaginer d'y entrer.

A quelques kilomètres de là, une fête d’anniversaire était organisée en l’honneur de Jean, le fils du forain.
Il était installé avec ses invités dans son petit salon remplis de fauteil et de pouf ou chacun pouvait y trouver sa place, ou une table remplie de nourriture était à la disposition de tout le monde, ce qui rendait la bonne humeur dans tout la pièce. Ils parlaient de tout et de rien. Jean sirotait tranquillement un grand verre de grenadine. C’était un adolescent de quinze ans plutôt petit pour son âge, que l’acné n'avait pas épargné. Ses cheveux bouclés noir charbon dissimulaient des lunettes rondes qui cachaient de petits yeux bleus nuit assortis à son pull en laine et ses chaussettes trouées.
Au milieu de la salle, un jeune homme assez grand, plutôt musclé attirait l’attention de toute l'assemblée, en particulier de deux filles, Lise et Sylvie, soeurs jumelles, qui étaient toutes les deux rousses et frisées comme des moutons aux grands yeux vert, qui le dévorait des yeux depuis le début de la fête. Il se nommait Grégoire. Ses cheveux châtain en bataille lui donnaient un air de cancre, et ses yeux noisettes faisaient succomber toutes les filles. Son blouson de cuir et son jean neuf faisait de lui un parfait dragueur. Il lança :
Ecoutez celle-là ! Vous savez ce que c’est qu’une myrtille ? Un petit pois qui retient son souffle !
Malgré la médiocrité de la blague, toute la salle pouffa de rire. Mais sûrement pas à cause de la blague elle même, mais plutôt du gloussement que Mina, une fille affalée sur le canapé avait poussé. Elle était blonde aux yeux bleu ciel, et son décolleté rose bonbon à pois blancs laissait apparaître une forte poitrine pour son âge. On l’aurait confondue avec une poupée à cause de son maquillage qui recouvrait son visage.
La seule personne à ne pas rire se dressait au fond de la salle, appuyée nonchalamment contre le mur. Elle s’appellait Sibylle, et était nouvelle dans le quartier. Elle avait attiré la curiosité de Jean par son look gothique, et il avait décidé de l’inviter à sa fête pour mieux la connaître. Hélas, ça ne marchait pas. Elle n’avais pas quitté son mur ni ouvert la bouche depuis le début de la soirée. Elle devait avoir une quinzaine d’années comme les autres invités. Elle était à la fois provocante et effrayante : sa tenue de cuir déchirée révélait une beauté sauvage. Ses longs cheveux noirs encadraient son visage d’une pâleur excessive. Ses yeux gris pâles accentuaient la froideur de son regard méprisant qu'elle lançait à Grégoire,

Entre deux blagues, Mina désigna la bouteille de grenadine vide en disant :
Et les amis, si on jouait à la bouteille ? Vous connaissez ? On se met autour et on la fait tourner. Et après, elle va désigner quelqu’un. Les autres devront lui trouver un gage, du genre embrasser son voisin…
Bonne idée ! dit Grégoire d’un ton enthousiaste.
Avant qu’il ne puisse se lever, Sibylle s’avança au milieu de la pièce, avant de s’asseoir sur l’accoudoir du canapé où était allongée Mina, en la cachant aux regards des autres. Elle soupira puis enfin daigna à parler :
Vous jouez encore à ce jeu de gosses ? Lança-t-elle d’une voix froide, tout en visant tout la salle d’un regard méprisant, moi je préfère la version défi.
Tout le monde la regarda avec des yeux ronds.
Elle poursuivis sans attendre de réponse :
Oui, quand on donne un défi bande d’imbéciles. Réfléchissez un peu avant de me regarder comme ça…
Bon d’accord, grogna Mina tout en poussant Sibylle du canapé afin de redevenir le centre d’attention de Grégoire.
Elle se leva brusquement et lança la bouteille autour du cercle que formaient les invités. Celle-ci tomba sur Grégoire, et avant que Jean d'angoisse n’ait eu le temps d’ouvrir la bouche, elle s’empressa de dire :
Sois tu m’embrasses la joue droite, sois tu m’embrasses la joue gauche, Greg! dit elle enfantine.
Non, coupa Sibylle tout en reprenant la bouteille, pas de défi comme ça. Je parle de vrai défis.
Et de quels genre de défis ? dit Jack d’une voie peu rassurée.
Sibylle le fixa un moment avant d’afficher un sourire de satisfaction.
Ton père, c’est pas lui le propriétaire de la fête foraine ?
Heu… Oui… Bégaya-t-il.
Donc, il a les clefs de la fameuse maison dont tout le monde a peur, à ce que j’ai entendu dire…
A ces paroles, même Grégoire recula d’un pas, apeuré.
Elle s’approcha d’eux et leur chuchota :
Demain après la fermeture du parc, on entrera dans la maison.
Elle jeta un regard à la pendule du salon, avant de briser un long silence :
Il est tard, je dois rentrer. A demain tout le monde.
Et sur ces mots, elle sortit de la maison en claquant la porte, ne leur laissant pas le choix.

Le lendemain, après que sa mère sois venue lui souhaiter une bonne nuit, Jean regarda son réveil à moitié rouillé: 22h30. Il mit ses lunettes et sortit de son lit discrètement. La main tremblante, il attrapa sont bonnet vert sur son porte manteau et se l'enfonça jusqu'aux sourcils. Il boutona son long manteau à carreaux et laça ses vieux souliers de cuir, il se muni d'une torche et avanca dans le salon. Il fit craquer maladroitement quelques lames du parquet, ce qui attira l'attention de son père, qui volait du gâteau dans le frigo de la pièce voisine.
La bouche pleine et barbouillée de crème au chocolat, le petit homme enrobée, mal rasé vétu d'une robe de chambre blanche et bleue rayée et de son bonnet de nuit assorti, s'approcha de son fils avec encore une part à moitié écrasé dans une main:
Jean? Tu ne dors pas? Dit il d'un ton géné, tout en essuyant les restes de gâteaux étalés sur sa bouche avec sa manche.
Mais avant qu'il ne toruve une excuse, son père continua, étonné:
Qu'est-ce que tu fais avec ce bonnet et ton manteau?
Et toi qu'est-ce que tu fais avec mon gâteau d'anniversaire dans les mains? Riposta Jean.
Il restait une part dans le frigo et... Bon peu importe, j'avais un petit creux. Et je dois avouer que le rôti de ce soir avait un drôle de goût, c'est pour ça que j'ai dit à ta mère que je n'avais pas faim.
Jack souri, puis son père reprit:
Ecoutes, ne dis rien à ta mère, tu sais comment elle est! Elle se vexe pour un rien surtout en ce qui concerne sa cuisine... Tu est grand maintenant, et je sais que je peux te faire confiance.
Il commença à repartir vers sa chambre, avant de se retourner brusquement:
Ah oui, j'oubliais. J'espère que tu n'as pas une mauvaise idée en tête mon garçon. Tu sais, sortir la nuit... Promet moi que tu ne vas pas faire une bétise.
Jack avala sa salive puis dit maladroitement:
Non papa.
- C'est bien mon fils, répondit il en lui ébouriffant les cheveux.
Jean attendit un moment pendant que son père repartait en chantonant. C'était la première fois qu'il lui avait menti. Il avait toujours était un enfant très sage, que toutes les mères auraient rêver d'avoir. Il demeurait calme et poli, et recevait toujours d'exellentes notes à l'école. Mais là, tout avait basculé, il ne méritait plus la confiance que lui accordait son père. Et si il lui arrivait quelque chose? Rien qu'à cette idée, il commença à trembler de tous ces membres. Il s'avança vers le porte clef, et il vit le trousseau du parc. Il hésita un moment: et si il n'allait pas rejoindre ses amis, et qu'il restait chez lui? Au moins, il serait en sécurité, et son père n'aurait rien à lui repprocher... Mais ses amis! Quand ils apprendrons qu'il est resté tranquillement chez lui, pendant qu'eux ils sont dehors à l'attendre... «  N'ai pas peur Jean, prouve aux autres que tu es un homme » se dit-il avant de s'emparer du trousseau et de sortir de chez lui à toute allure.

Il faisait sombre et froid dehors, et on peut apercevoir deux sillouettes, celles d'une femme et d'un enfant, marcher en hâte sur le bord de la route à peine éclaire par les rayons de la lune, le long de petites maisons de pierres ou tous leurs habitants étaient endormis. La femme semblais trainer l'enfant par sa manche.
Allez avance, n'est pas peur on est presque arrivé, grogna la grande silouette.
Mais, sa fait au moins une heure qu'on marche et que tu me dis qu'on va arriver! Et tu sais très bien que maman nous a toujours interdit de sortir la nuit, il paraît qu'il y a des méchants loup garous qui mangent ce qui n'écoutent pas leur maman, répondit d'une voix tremblante la deuxième silouette.
Tais toi et avance. Les loups garous, c'est des histoires qu'on invente pour faire peur aux bébés. C'est pas la première fois que je sors la nuit.
Alors comme ça c'est que des histoires? Mais... Sa veut dire que tu as osé désobeir à maman? Tu es sortie la nuit alors qu'elle te l'avait interdit! S'énerva la petite silouette en lâchant violament la manche de la femme et en arrêtant son pas.
Tu sais ce qu'il arrive aux petits frères qui embêtent leur grande soeur ou leur parle méchament? Ricana-t-elle, en continuant d'avancer laissant son frère seul derière elle.
Heu... Non., balbuta l'enfant, en revenant aussitôt s'accrocher à son bras pour le serrer contre lui.
Une méchante sorcière viennent les chercher, et elle les font cuire dans une marmite avec des crapeaux pour les déguster à l'heure du dîner, cracha-t-elle elle en libérant son bras.
L'enfant se tut aussitôt et continua de trontiner à coté de sa soeur pour garder son rythme, puis finit par briser le silence:
Ou on va?
Au magasin de jouets, répondit-elle, amusée.
C'est vrai? Demanda-t-il avec espoir.
Non. Lâcha-t-elle sèchement.
L'enfant soupira puis dit:
Tu pourai quand même me le dire, couina-t-il, j'ai peur moi! Et c'est pas parce-que c'est toi qui me garde que tu a le droit de faire ce que tu veux. Alors, on va ou?
A la fête foraine.
Ah super! Je ne savais pas que c'était ouvert la nuit. Je pourrai faire du cheval?
Non, répondit-t-elle séchement, on arrive, suis-moi.
La femme poussa le portail entrouvert qui menait au parc. Il provoqua un grincement qui effraya l'enfant, et il se cacha derière sa soeur en s'accrochant à sa jupe, comme les bambins.
Ils traversèrent le parc, puis la forêt de pins qui menait vers le manoir. Mina, Grégoire et Jean attendaient sur le péron. En appercevant la grande silouette approcher, ils reconurent Sibylle.
Mina gémit alors:
Sa fait au moins une heure qu'on t'attends! On allait repartir. Et moi j'ai déjà la chair de poule.
Tu sais, les manteaux sa existe, on est en 1950 je te rappelle, plus à l'âge de pierre, répondit elle énervée.
Et je suis en retard car je devais garder mon frère. Si j'étais partie il se serait apperçut de mon absence et aurait prévenu mes parents à leur retour du théâtre. J'ai pas eu d'autres choix que de l'emmener.
Tout le monde se pencha pour appercevoir, caché sous un gros manteau de fourure, une petite tête pâle aux cheveux foncés et aux grands yeux noirs.
Sibylle... C'est qui ces gens? Ils sont ou les chevaux? Je t'en supplie, dis à la sorcière de me laisser tranquille! Cria-t-il en désignant Mina.
Mina, surprise par cette réaction, contourna Sibylle et se baissa vers l'enfant:
Je ne suis pas une sorcière, je dirai plutôt que je suis une petite fée. Je m'appelle Mina, je ne te ferai pas de mal. Et toi petit chou, quel est ton nom?
Félix... Répondit-il d'une voie un peu plus rassurée.
N'ai pas peur, je suis là. Viens sur mes genoux mon petit coeur.
Il obéit, et Sibylle leur lança son habituel regard méprisant. Jean observa sa montre, et avant qu'il n'ouvre la bouche, Mina le coupa:
Alors comme ça tu t'appelle Félix?
Oui, répondit Félix fièrement, j'ai sept ans, et plus tard je veux devenir chevalier de la guerre!
Bon sa va, ferme là un peu, Grogna Sibylle en les interrompants.
Mais Félix continua, mine de n'avoir rien enttendut:
Et elle, c'est ma soeur, Sibylle! Elle a un mauvais caractère, et elle dit souvent des gros mots même si maman le lui interdit. Quand elle est énervée, sa lui arrive même de donner un grand coup de poing dans le mur, rigola-t-il.
Sibylle commençait à se tordre les doigts de rage, pendant que Mina écoutait attentivement le récit de Félix.
Et puis, elle la joue dure, continua Félix, mais en fait elle est douce au fond. Je vous ai déjà dit qu'elle dormait encore avec son ours en peluche?
Mina éclata de rire, et Grégoire ne put s'empêcher de sourire. Sibylle, fit craquer ses doigts puis se précipita sur son frère, l'attrappa par le coup et le plaqua contre le en lui criant:
TA GUEULE, SA T'ARRIVE DE LA FERMER OUI? SI TU LA REEOUVRE ENCORE UNE FOIS JE TE PETE LE CRANE EN DEUX!
Sur ces mots, même Mina se tut.
Sibylle, calme-toi... Murmura enfin Grégoire.
Elle lâcha sa victime qui tomba brusquement sur le sol (et que Mina s'empressa d'aller aider à se relever), et hurla dans la tête de Grégoire qui fut aussitôt décoiffer:
JE SUIS TRES CALME GREGOIRE!
Bon, dit Jean en regardant une dernière fois sa montre, je crois que Lise et Sylvie ne viendrons pas. C'est pas le genre à être en retard, et les connaissant elles ont dut avoir peur. Aller, on y va...
Mais on va ou? Demanda Félix énervé.
Dans le manoir, quelle question, répondit Grégoire.
Dans ce truc? Mais c'est hanté! Dit-t-il en commençant à trembler.
Mais non, c'est seulement des histoires, le rassura Grégoire.
Félix avala sa salive bruillament en guise de réponce.
Aller, Jean! Gronda Mina, ouvre cette porte qu'on en finisse.

Jean pris son souffle et entra la clef dans la serrure, hésita un instant puis la tourna.
Personne n'eût le courrage d'ouvrir, sauf Sibylle qui poussa Jean et Grégoire du coude qui lui bloquait le passage. Elle marmona dans sa barbe un « et après on dit que que les gars sont courageux... » avant d'ouvrir la porte. Il y eu un grand grincement sourd et un nuage de poussière qui s'était accumulé sur la porte leur tomba dessus, avant que celle-ci ne se referme seule. Jean alluma sa torche et éclaira, la main toute tremblante: c'était une grande pièce sombre pleine de toiles d'araignés, recouverte de tapiceries grisâtres à moitié décollées, qui devait dâté de l'âge des cavernes, selon Mina. Le parquet était moisis et pleins d'échardes. De grands rideaux miteux et poussièreux étaient suspendus au dessus des quelques fenêtres qu'il y avait, de vieux meubles cassés étaient entassés dans un coin de la pièce, tous renversés. Des objets divers comme des crânes, des vieux vases, quelques parchemins devenus illisible par l'eau de pluie qui traversait le toit, ou encore de la nourriture périmée étaient éparpillées par terre. Une odeur d'urine survolait dans toute la pièce. La maison devait être habitée par des souries ou d'autres animals divers depuis lontemps, car les murs étaient troués à quelques endroits.
Bon, dit Grégoire en essayant d'avoir un ton courageux, on a réussi le paris, maintenant, on s'en va.
Oui, on devait juste entrer, on l'a fait. Maintenant, j'y vais. Dit Mina en essayant de ne pas trembler.
Je vous accompagne, heu... Mon doudou ne peut pas dormir sans moi. Insista Félix, tout en évitant le regard de sa soeur qui les fixés tous les trois de son regard méprisant.
Vous êtes vraiment des lâches, siffla Sibylle, moi je reste là. Je suis curieuse de connaître les autres pièces. Et toi le nain, dit elle en fixant Félix, tu restes avec moi. Si il t'arrive quelque chose, c'est moi la responsable.
Parce-que tu crois vraiment qu'on est en sécurité ici? Dit Félix avec colère.
Sibylle ramassa un verre de cristal par terre et l'admira en disant d'un ton amusé:
Peut-être, peut-être pas...
Sibylle arrête tu me fais peur!
Allez c'est bon, vous faites ce que vous voulez, mais en tout cas, Greg et moi on s'en va, dit Mina d'une voix forte en se dirigeant vers la porte.
Elle saisis la poigné, et appuya. Mais rien. Elle recommenca, mais la porte ne s'enclanchait toujours pas. Elle devint très pâle. Grégoire n'était pas très rassuré non plus, la poussa en disant d'une voix tremblante:
T'es nulle, laisse moi faire, la porte est juste un peu rouillée...
Il insista à son tour à plusieurs reprises, mais pas de meilleur résultat. Il commença à forcer en appuyant le poids de tout son corps, mais la porte restait bloquée. Il devint à son tour blanc comme un cachet.
Arrête de forcer comme ça tu vas finir par casser la poigné, cracha Sibylle.
Heu oui, tu as raison... Passe les clef Jean, vite... Murmura Grégoire comme si il avait peur que quelqu'un ne l'entende.
Jack fouilla dans toutes ses poches, et gémit:
Tu vas me tuer Greg, mais je crois que j'ai laissé les clefs sur la porte, à l'extérieur...
Tu veux dire... Couina Mina.
Qu'on est enfermer.. Gémit Jean avec dégoût,
Félix et Mina poussèrent un petit cri aïgu.
C'est bon, arrêtez de gueuler, s'énerva Sibylle, toute façon, C'est pas comme ça que les choses vont s'arranger Jean n'avait pas pu fermer derière nous vus que les clefs sont dehors. Apparament la porte ne s'ouvre que de l'exterieur.
Mina la regarda avec des yeux ronds.
Oui, Jack a laisser les clefs à l'exterieur et on est rentrer, la porte s'est refermée. Donc logiquement de l'exterieur la porte est encore ouerte, ré explica Sibylle, agacée.
Mina ne semblait toujours pas comprendre, et elle ne put s'empêcher de réessayer d'ouvrir la porte une dernière fois, sans succès.
Mais il doit bien y avoir un autre passage quelque part, au moins une porte de secours. Remarqua Grégoire.
Oui, trouvons vite cette porte, qu'on puisse sortir, ordonna Mina.
Bonne idée, dis Jack, logiquement elle devrait se trouver à la sortie du train fantôme.
Regardez, c'est là! Cria félix en désignant une porte, il y a un panneau de sens interdit!
Suivis des autres, Félix se précipita vers la porte et l'ouvrit.
Bien jouer Félix, dit Grégoire en admirant la porte au bout du petit couloir de pierre avec un petit panneau « sortie ».
Poussez vous que je puisse sortir! Grogna Mina en s'avançant vers la porte.
Elle la pousa de toutes ses forces mais la porte ne bougea pas.
Oh non pas encore... Dit Félix tout en recommençant à trembler.
Que je suis bête, j'aurai dût y penser, souffla Jean.
Quoi? Demanda Sibylle.
Il faut la clef ici.
Mais... Les portes de secours sa se ferme? Demanda Mina avec les yeux ronds.
Bien sur. Tu imagines, si la porte s'ouvre à cause du vent, nimporte qui pourrait y entré!
On est coincés alors? Demanda Félix.
Et bien... Grimaça Jean.
Et les fenêtres du salon? Remarqua Sibylle.
Sa vaut le coup d'essayer, dis Jean avec espoir.
Il retournèrent dans le salon en silence, et Grégoire s'avança et essaya d'ouvrir plusieurs fenêtres, mais sans succès non plus.
Elles sont célées, grimaça-t-il.
Mina se jeta dans les bras de Grégoire et se mit à pleurnicher.
Il me semble que mon père m'avait aussi parler de certains mécanismes, mais je ne sais pas comment ils s'accionent. Vous savez, avant c'était une attraction ici alors il faut s'attendre à tout.
Et tu sais à quoi servent ces commandes? Demanda Grégoire.
Je pensse que la majorité est utilisé pour effrayer les gens. Il suffirai juste d'appuyez sur la bonne lame de parquet pour ouvrir une trape, par exemple. Donc faites bien attention ou vous marchez et ou vous appuyez.
Félix grimaça.
- Mais bon ne vous inquietez pas, repris Jean, demain mon père s'appercevra de la disparition des clefs, et ils viendra nous chercher. Et puis il m'a vu hier soir, il sera ou nous trouver.
Demain? Tu ne crois pas que je vais passer la nuit ici non plus? S'énerva Mina.
Il le faut, souppira Jean, en attendant on a cas aller visiter un peu.
Suivis des autres, il poussa une deuxième grande porte porte de bois. Elle menait à une petite chambre, qui était déjà en meilleur état que le salon. La pièce était recouverte de bois ancien, le lit était en bon état malgrè le fait que les couvertures qui le recouvraient étaient troués et poussièreuses, contre le mur il y avait une grande armoire en chène massif. Par chance, il y avait un interrupteur qui allumait un faux chandelier au plafond que Grégoire enclencha.
- Ah, quand même un peu de lumière, dit Jean tout content, sa nous change de ma vielle lampe...
Pouah! Hurla Mina en se bouchant le nez, sans tenant compte de la remarque de Jean, quelle odeur, c'est horrible!
En effet, l'odeur d'urine était encore plus forte ici.
C'est pas possible que sa pue autant, c'est forcément frais! Dit Grégoire, dégouté.
Normal, regardez il y a un chat sur l'armoire!
En effet, un vieux matou noir aux yeux jaunes les observais depuis le haut du meuble. Il reniffla l'air, descendit de son meuble et s'approcha de Grégoire en miolant bruyament.
- Je déteste les chats, gentil le minou, gentil... Dit-t-il en reculant contre le mur.
Il cogna sa tête contre une vieux chandelier qui s'enfonça peu à peu dans le mur, et sous le regard de tous, le plafond commença à s'ouvrir et un gros clown gris pleins de cicatrices, de poussière et aux yeux rouges brillant, chantant une berceuse avec une voix démoniaque en sortit, sous les cris effrayés de tout le monde, y compris Sibylle. Le chat alla aussitôt se cacher sous le lit en continuant à miauler. Grégoire donna un grand coup de pied dans le ventre du clown qui retourna dans le plafond aussitôt.
Merci Grégoire, dit Sibylle en reprenant son souffle.
Tu peux m'appeler Greg, tu sais ma belle. Dit-t-il fièrement en s'appuyant contre son épaule.
Mina devint alors rouge de jalousie, mais avant qu'elle ne se mette à se plaindre, Sibylle dit sur un ton amusé tout en débarassant son épaule du bras de Greg:
Merci de ne pas t'appuyer sur moi, Grégoire, et merci aussi de bien vouloir m'appeler Sibylle.
Grégoire était surpris de sa réaction, c'était la première fois qu'une fille lui résistait.
Bon, désolé de vous interrompre, dit Félix agacé, mais vous croyez qu'il était vivant le clown? Il faisait très peur!
C'est ce que je vous expliquait tout à l'heure, le chandelier c'est un mécanisme qui fait descendre le clown. Quand je vous ai dit qu'il fallait faire attention, c'était pas pour rigoler. Il faudras s'attendre à ce genre de surprise dorénavant.
Bon commence pas à faire ta morale Jean, parce-que je sens que je vais m'énerver.
Jean rosit, et histoire de se rattraper, il observa la pièce, et vit un cadre poussiéreux caché derière l'armoire, il le ramassa et essuya la poussière contre son pull, sous le regard dégouté de Mina, et découvrit une vielle photo de famille qui devait daté d'une cinquantaine d'années. Il ne put s'empêcher de donner son explication.
Regardez, c'est la famille Poquelin.Quand l'attraction était encore ouverte, on disait qu'ils étaient mort, mais que leur esprits farceurs hantaient le manoir et jouaient des tours aux visiteurs qui osaient les dérangés... Comme le clown par exemple.
N'ayant rien à faire des explications de Jean, Félix se baissa sous le lit pour essayer d'attraper le chat qui était toujours caché.
Pssst! Et oh le chat! Minou minou minou! Viens, sors de ta cachette! N'ai plus peur, il est partit le méchant clown.
Mais le chat restait dans son coin, grogant et remuant la queue.
Arrêtes d'embêter cette pauvre bête, tu vois bien qu'il n'est pas content! Ordonna Sibylle en relevant brusquement son frère par le bras.
Et toi, tu vas finir par faire mal à Félix! Intervint Mina, viens mon poussin que je te serre dans mes bras.
Félix obéit, il Mina le recouvra de bisous baveux tout en le serrant très fort.
Et toi tu vas finir par l'ettoufer, grimaça Sibylle.
Félix regarda alors Mina avec les yeux doux et lui dit:
Mina je t'aime.
Mina hésita un peu puis répondit:
Moi aussi mon sucre d'orge.
Restait à savoir si c'était sincère ou si elle disait ça pour provoquer Sibylle, qui levait les yeux au ciel en disant:
Qu'est-ce qu'il ne faut pas enttendre. Quand je disais que tu avais des goûts de chiottes, Félix, je n'avais pas tout à fait tord au fond.
Mina rougit de rage, mais avant qu'elle ne puisse réagir, Grégoire intervint en pointant son nez à la porte:
Bon les filles, c'est quand vous voulez! On vous attend pour essayer le train fantôme. Jean y est déjà, lui. Et dépêchez vous la lampe ne va pas résister lontemps! Depuis tout à l'heure elle grésille.
Sibylle et Mina s'échangèrent un regard, puis rejoignèrent avec Félix Grégoire qui partait à tout à l'ure vers un grand couloir à peine éclairé par la torche.

Faites attention, c'est remplit de statues, avertit Grégoire.
Mais malgrè ces averticements, Mina ne manqua pas d'en renversé quelques unes car elle s'entêtait à garder la main de Félix dans la sienne, se qui n'était pas très pratique pour éviter les statues à peine visibles.
Au bout du couloir, c'était allumé et Jean s'y trouvais.
Ah, vous voilà enfin!Avec le temps que vous avez mis, j'ai finit par trouver l'interupteur. Faut appuyer sur le nez de la dernière stature en fait, dit Jean fier de sa trouvaille.
Et, je vous présente le train fantôme, dit Grégoire en désignant la petite locomotive noire sur les rails qui trainait cinq sièges deux places par une grosse chaîne en acier.
C'est ça le train fantôme? Dit Mina étonnée, mais il ne fait pas peur du tout!
Heu, Mina, en fait c'est ce qu'il y a l'interieur qui est censsé faire peur, lui expliqua Jean.
On tente alors? Demanda Grégoire tout exité.
Mina sauta dans le siège du fond, regarda Grégoire avec les yeux doux en lui disant:
Tu viens t'assoir à coté de moi?
Avec plaisir! Répondit Félix qui avait compris que c'était à lui qu'elle parlait.
Il rejoigna Mina dans le siège et se serra contre elle.
Pendant un instant, Grégoire parut être un peu jaloux, et Mina lui dit pour le rassurer sur un ton géné:
Heu Greg, ce n'est qu'un enfant... Ne te fais pas d'idées.
Au si au contraire! Dit Félix en regardant Grégoire droit dans les yeux, si tu oses essayer de me piquer ma fiancée, il faudra me battre au combat à mort!
Sibylle, qui s'était assise au premier wagon ne put s'empêcher d'éclater de rire.
Parce-que tu as demandé en mariage cette chose? Demanda-t-elle en séchant ses larmes.
Ah non mince, en fait j'ai pas encore eu le temps de lui demander, répondit Félix.
Il regarda Grégoire avec un air menaçant et repris:
Mais c'est pour bientôt, alors ne l'approche pas!
Mina resta bouche bée. En voulant provoquer Sibylle, elle venait quasiment de perdre son Grégoire, et elle se trouvait avec un petit morveux.
Bon et bien, dans ce cas je vais m'assoir avec Sibylle, dis Grégoire en s'approchant du premier siège.
Oh, mais ne t'inquiètes pas pour moi Grégoire, je ne suis pas encore un cas désespéré, dit-t-elle avec un petit sourire, tout en mettant sa jambe sur le siège à coté d'elle.
Il souffla puis alla s'assoir sur le siège de derière, à coté de Jean.
Et c'est partit! Cria Jean en accionant le levier sur le petit quais.

Le train commença à descendre doucement dans le tunnel noir, puis se mit à accélérer à toute vitesse. Des yeux rouges brillants apparaissaient au plafond, et de fausses araignées tombèrent sur les passagés avant que le train n'entame une grande decsente avec des cris démoniaques. Ils passèrent ensuite à travers des toiles d'araignées, sous les cris de tous le monde. On entendit alors un grand boum venant du plafond, puis un cris de chat. Il y eu encore plusieurs descentes dans le noir absolu, puis le train ralentit, des squelettes descendirent lentement du plafond juste au dessus de Mina et Félix. Ils tournoyaient au dessus de leur tête. Et par malchance, la ficelle d'un des squelettes qui permettait de les maintenir au plafond lâcha, et le squelette tomba brusquement sur Mina qui hurla. Elle le balança hors du siège et le train repris de la vitesse puis s'arrêta net à la sortie. Jean ralluma sa torche.
C'était génial! On fait un autre tour? Demanda Sibylle entousiaste.
Tu parles! Gémit Mina en enlevant les toiles d'araignées de ses cheveux, un squelette m'est tomber dessus c'est ignoble!
C'est parce-que c'est vieu, expliqua Jean, ces ficelles n'ont jamais été changées, fallait s'y attendre. En tout cas, faut avouer que les effets spéciaux sont drôlement bien fait. Je sais pas si vous avez fait attention au cris du chat, mais moi j'aurai juré que c'était un vrai.
Enfin, moi je refait pas de tour tout de suite, dit Grégoire en se frottant les yeux, je commence à fatigué. Je crois que je vais aller trouver une pièce ou je pourrai m'assoir.
Je viens avec toi, dit Mina en lui caressant la joue.
Moi aussi, je crois que je vais m'endormir debout sinon, dit Félix en prenant la main de Mina.
Ils s'éloignèrent tous les trois pendant que Sibylle et Jean remontèrent dans le wagon. Au bout de trois tours de suite, Jean dit à Sibylle en rigolant:
Bon, je vais voir si je trouve pas des toilettes parce-que je vais finir par me pisser dessus avec toutes ces sensations fortes.
D'accord, répondit Sibylle amusée, moi je reste dans le coin. A tout à l'heure.

Gégoire, Mina et Félix se trouvaient dans une grande salle à manger. Contrairement aux autres pièces déjà visitées, elle était plutôt propre. Sa devait être là ou les anciens visiteurs de la maisons pouvaient acheter diverses boissons fraiches, pour se désaltéré après le train fantôme. Les murs étaient haut et la tapiceries représentait des fleurs noires, et le sol était en grandes pierres grises. Une grande table en pin recouverte d'une nape assortie à la tapisserie se dressait au milieu de la salle, sur laquelle les couverts en argents avait été servis, et ou diverses imitations de nourriture étaient exposées. Mais bizarrement, il y avait des restes de feu de bois avec quelques os dans un coin, auquel aucun de nos trois amis n'avait fait attention. Il faut dire aussi qu'il était tard, et qu'ils avaient faim et soif.
Mina? Demanda Félix en baillant.
Heu, oui? Répondit-t-elle en se tripotant les cheveux.
Tu crois que je peux finir la bouteille de coca qu'il y a sur la table? Elle n'est presque pas entamée.
Il y a du coca? S'étonna Grégoire dans les vagues, mais comment sa se fait...
Il bailla et reprit:
Sa existait pas encore le coca quand l'attraction était encore ouverte, tu dois rêver Félix, rendors-toi.
Grégoire bailla encore puis se recoucha sur la table.
Félix pris la bouteille et en but quelques gorgées.
J'avais raison, c'est bien du coca, dit-t-il. C'est comme les bruits qui viennent du plafond, je t'assure que je ne rêve pas.
Grégoire grogna et tourna sa tête dans l'autre sens.
Et toi Mina, tu me crois? Demanda Félix en secouant l'épaule de Mina qui s'était elle aussi affalée sur la table.
Hein? De quoi tu me parle? Oui bien sur tu as raison mon ange, aller, laisse moi dormir maintenant.
Attends, j'ai autre chose à te dire.
Mmm?
Félix se mit à genoux devant elle et lui dit:
Mina, tu est vraiment merveilleusement merveilleuse. Je t'admire depuis le début, tu as toujours été là pour moi. Tu est la plus belle fille que j'ai rencontré de toute ma vie. Je vais même renoncer à ma maman et à l'institutrice de CP pour toi. Je te promet que je resterai fidèle et que je t'aimerai toujours. Et quand je serai chevalier de la guerre, je me battrait pour toi. Mina je t'aime très fort, et même si sa fait seulement quelques heures que je t'ai rencontré, je suis sur de faire le bon choix. Donc ma petite Mina, veux-tu devenir ma femme? Ah oui, en passant, j'ai perdut au moins cinq minutes de ma précieuse vie à me conçacrer à ce discour, donc j'espère que tu l'aimeras.
Mina à moitié endormie, n'ayant rien écouté de ce que lui racontait Félix poussa un « oui t'as raison mon bébé ». Félix sauta alors de joie puis cria:
Faut que j'aille dire tout de suite à Sibylle et Jean que je vais me marié! Ah, la tête qu'elle va faire Sibylle quand elle va...
Mince! Coupa Grégoire qui venait de faire un bond, Sibylle et Jean, sa fait un moment qu'ils font des tours de train maintenant, faudrai aller voir si tout va bien.
Mina, réveilles-toi ma chérie d'amour que j'aime! Cria Félix et la remuant dans tous les sens.
Hein? Quoi? Demanda Mina à moitié réveillée.
On va chercher ma soeur et Jean!
Ah oui... C'est vrai qu'ils sont toujours pas revenus...Soupira-t-elle.
Elle s'étira puis ils repartirent dans le salon.

Sibylle, Sibylle réponds! Cria Félix
Je suis là! Répondit une voix lointaine.
Ou?
Là!
Sa vient d'en haut, remarqua Grégoire, on y va.
Ils montèrent un grand escalier qui craquait à chaques fois qu'ils posaient le pied sur une marche. Ils arrivèrent sur un petit palier en bois abîmer. Il y avait deux portes. Une devant et une camouflée par la couleur du mur. Félix aurait juré que les bruits qu'il avait entendut provenaient de là porte la moins visible.
Sibylle? Chuchota encore Félix.
Mais je suis là, mince! Gronda la voix de Sibylle qui venait de la porte de devant.
Ils k'ouvrirent. C'était une mini pièce en pierre avec une petite bibliothèque et un fauteuil verdâtre à coté ou Sibylle était assise. Mais en entrant... Ils se retrouvèrent devant un squelette en morceaux étalé par terre. Mina se mit à crier puis demanda:
Qu'est-ce que tu as fait de Jean?
Sibylle observa les regards effrayés de Grégoire et Mina qui fixaient le squelette, ce qui l'amusa. Elle répondit avec un petit sourire:
Jean? Je l'ai mangé, comme vous pouvez le voir.
Comme la sauterelle en Afrique? Demanda Félix.
Mina hurla et faillit tomber dans les pommes.
Mina, je rigole, pourquoi tu crie comme ça? T'en connais beaucoup des gens manger des corps entier à eux tous seuls? Dit Sibylle, éttonné que sa blague ne les fasse pas rire.
Grégoire demanda en tremblant:
Sibylle, je suis très sérieux, il est ou Jean?
Ben si il est pas avec moi, ou voulez vous qui soit à part avec vous? Dit Sibylle en soupirant.
Voyant que personne des trois ne répondait et qu'ils gardaient les yeux fixés sur elle, Sibylle repris timidement:
Il est avec vous Jean, pas vrai...?
Non Sibylle, je n'ai aucunes idées d'ou il peut être... Répondit Grégoir een commençant à trembler.


[Cette partie c'était un brouillon brouillon, et c'est ocupé parce-que c'est pas finit. ]
Bonne lecture, si quelqu'un c'est rendut jusque là il est fort, lol.